Faire apparaître « en forme » et « en présence » à travers des clichés choisis, quelque chose d’abstrait et de fragile : ici l’empreinte de l’objet automobile.
Pour les artistes Aurélia Ivan et Sallahdyn Khatir, l’empreinte n’est pas un sujet, mais un révélateur : c’est un procédé qui interroge notre rapport à la « mémoire » de l’objet automobile, en son absence. Matérialiser l’absence en la révélant recréé une présence unique de l’objet, une chose « entre » les choses… une empreinte de l’absence.